La France se retrouve confrontée à une cyberattaque massive alors qu’elle se prépare pour les Jeux olympiques de Paris. Plusieurs services de l’État ont été visés, avec des perturbations signalées dans des ministères clés tels que celui de la Culture, de la Santé, et de l’Économie. Les attaquants, notamment le groupe Anonymous Sudan, ont utilisé une méthode de déni de service (DDoS) pour saturer les serveurs interministériels, ce qui a entraîné des difficultés d’accès aux services informatiques.
Les attaques de ce type sont devenues courantes et sont souvent menées par des hacktivistes, comme Anonymous Sudan, qui peuvent facilement louer des services en ligne pour lancer des attaques à bas coût. Ces attaques sont perçues comme des défis majeurs pour les organisations, nécessitant une détection précoce sans interruption du système informatique.
Malgré l’impact sur l’image de l’organisation ciblée et les perturbations temporaires, les effets à long terme sur les systèmes d’information et les sites web sont relativement limités selon une source gouvernementale. Les motivations exactes d’Anonymous Sudan restent floues, bien que le groupe semble avoir des affiliations pro-russes et soutienne également des causes islamistes.
Source LeParisien
